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De Kaas van de Buren ruikt niet altijd lekker, en de f.f. gaat meten. Hoe? Dat mijn Kaasvrienden weet niemand, maar die geur blijft hangen....

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Uit de Krant "La Province" vandaag 17 Juli 2014 in het Frantz;

Mons: «La Verr'Hier», rue d'Havré, en guerre avec ses voisins

Rédaction en ligne

"Les riverains de la rue d’Havré ont décidé de saisir les autorités communales quant au manque d’insonorisation des murs de la Verr’Hier, ce bar très tendance au décor somptueux situé à la fois dans la rue de la Coupe et la rue d’Havré."

Wat is me dat!!! Klagen!!!!! Schande!!!!!

En er is Meer!!!!

"Charles H. a souhaité s’exprimer au nom des 15 propriétaires et locataires de la rue d’Havré, las du vacarme qui plombe leurs nuits le week-end. « Voici quelques mois, la discothèque était située du côté de la rue d’Havré », relate-t-il. « Elle était à ciel ouvert ! Je vous laisse imaginer l’enfer que nous vivions. Le restaurant était lui situé au niveau de la rue de la Coupe. Les deux parties de l’établissement se rejoignent en effet par un passage intra-muros. Mais lorsque le patron a été obligé de fermer son espace situé à la rue d’Havré pour manque d’insonorisation, il a transformé son restaurant en « lounge bar ». Du coup, les nuisances sonores n’ont pas vraiment arrêté. C’est juste qu’elles émanent désormais de la rue de la Coupe plutôt que de la rue d’Havré. Légalement, en lieu et place de son ancien restaurant, le patron doit normalement diffuser une musique d’ambiance, et non de la musique électroniquement amplifiée. Le week-end, nous ne dormons jamais avant 3h du matin. C’est infernal. J’ai mesuré 50 décibels de vacarme dans ma chambre le week-end dernier ».

Selon Franco T., patron de l’établissement, les riverains s’acharnent sur son établissement. Il est vrai qu’on ne peut pas dire qu’il n’y ait qu’un seul établissement du genre le long de la rue de la Coupe. « C’est une rue où il n’y a que des cafés dansants, des bars ou des discothèques », explique-t-il. « Partout, la sono est mise à fond. Il n’y a pas que la Verr’Hier qui fait du bruit. Mais comme d’habitude, dès que les riverains appellent les forces de l’ordre, les policiers viennent chez nous, nous disant que la musique va trop fort ».

Le bourgmestre f.f. Nicolas Martin met quant à lui le patron en garde : l’établissement pourrait faire l’objet de mesures...